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les éspaces exterieurs

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les éspaces exterieurs Empty les éspaces exterieurs

مُساهمة من طرف Admin الخميس نوفمبر 10, 2011 10:48 pm

Introduction :

Les archives, les écrits et les travaux scientifiques, concernant les grandes périodes de la ville historique (gréco-romaine, renaissante en Europe , puis classique haussmannienne , industrielle ) ont montre que l’amélioration de la fréquentation et la qualité des espaces délimités par les constructions ont de tous temps été les soucis majeurs des constructeurs et bâtisseurs des villes . L’existence de ces ‘’morceaux de ville :’’ qu’on appelle communément les espaces urbain publics ou encore les ‘’espaces extérieurs collectif ‘’ ne date d’hier. Cependant apparition du terme ‘’espace public ‘’ dans les écrit de longes française et dans traduction d’ouvrage étrangers dates des années 1977-1978. les spécialistes de l’historique du 17 éme , 18 éme , 19 éme , siècle qui évoquent l’habitat et le logement ne leur opposent jamais l’espace public , mais la rue , les places , les marchés , les fêtes , les manifestations , c’est espaces en creux par opposition aux constructions qui les entourent font partie intégrante de la ville bien plus que des trous , ils doivent être complets facilement définissables et sans eux les plus belles architectures plus ou moins contradictoires .

I- LES ESPACES URBAINS PUBLICS DANS LE TEMPS :

I-1 * l’agora grecque :



en gréce , des la deuxième moitié du VI éme siècle avant J-C , l’embellissement des villes est le fait des tyrans qui font appel a des architectes et des ingénieurs pour élever des remparts et des murs d’enceinte , emplir des ‘’agoras ‘’ et multiplier les fontaines aux carrefours et sur les places publiques .

l’agora grecque était un lieu d’échanges commerciaux , politiques et culturels . c’était aussi un lieu de festivités et de commémoration , un lieu de marché .

bien aménagé ,cette place était remplit d’étals et divers supports pour les marchandises , ainsi que des bancs de pierres sur lesquels les anciens faisaient part au peuple de leur décision . A cette époque , les espaces urbains étaient déjà peuplés .

A l’époque hellénistique, le développement du commerce a pris la place des activités politiques ; ce qui a eu pour conséquence le déséquilibre de l’ordre préalablement établi .

‘’ jusque la assez flou , le contour de l’agora fut délimité par les monuments . c’est cette époque que leur les rues s’élargirent et furent plantés des arbres a Athènes , ainsi que beaucoup de temples et de fontaines furent réalisés ‘’ .

Nous constatons des lors que ces espaces ont subi des modifications le long de l’histoire.

I-2 * Les Forums Romains :

Comme l’agora grecque , le forum italique n’a a l’origine , aucune structure architecturale :

‘’ c’est simplement une place recouverte de dalles délimitées par les rues du centre urbain , autour duquel se groupent des édifices religieux et des commerces ‘’ .

En plein développement monumental , le forum de Rome est bordé sur ses quarte cotés par des édifices contigus .

‘’ les places , au nombre d’une quinzaine , ne sont guère plus spacieuses que les rues ; les plus grandes peuvent atteindre les 1000 m ² ‘’ . des ‘’campus ‘’ , au nombre de 8 , pour des promenades , ornées de pelouses et de plantations , avec des dimensions plus importantes que les places ‘’ ils peuvent atteindre 350.000 m ² ‘’.

Il faut remarquer que les romains ont été simple t’il , les vrais promoteurs sérieux de l’élargissement et du pavage des rues .

A Rome comme a Athènes , les parcs et jardins urbains étaient de petite taille , exception faite de certains jardins ornementaux au cœur de la ville comme ceux de popéi au champs de mars .



-3 * Le moyen age :

A cette époque ‘’ toutes les découvertes de l’art doivent être employées pour la gloire des dieux ‘’ les fontaines , bornes … sont rarement employées , exception faite des édifices religieux ( église , cathédrale ….) .

Les jardins publics sont inconnus jusqu’au XIII éme siècle . des jardins d’agrément privé ou royaux traités avec la plus stricte géométrie dans l’esprit du jardins a la française .

A défaut de jardins , les cimetières jouent un rôle important ; auprès des églises , ils sont un lieu de promenade.

‘’ les places a cette époque , servent surtout pour les rassemblements et sont souvent a l’écart des grands axes de circulations . on peut distinguer trois sortes de places : le pavés de l’église , la place du marché et la place de l’hôtel de ville ‘’ .

Il faut remarquer tout de même , que l’absence de végétation ne nuisait guère ‘’ a l’urbanité ‘’ des cités a cette époque

I-4 * La renaissance :

A cette époque , surtout après 1600 , on observe la mise en place d’un cadre architecturé monumental . pour le reste , les espaces extérieurs urbains demeurent a ceux du moyens age .

Ce n’est au’au XIII éme siècle qu’apparaissent réellement les espaces destinés a l’intention du public . composés essentiellement d’allées promenades et jardins publics .

A titre d’exemple , en 1916 , marie de Médicis , ouvre le cours la reine , large allée plantée qui s’étendait sur 1500 m , il s’agit la des premières plantations d’alignement . même les parcs princiers ou royaux sont ouverts aux citadins .

De même qu’en aménagement urbain , l’ordre est de rigueur sur les cours , les avenues plantées , les mails qui se multiplient a l’entrée des villes .

Egalement pour l’éclairage qui fait l’objet d’amélioration décisive : a paris . par exemple , en 1967 , le lieutenant général de police la Reynie fait installer 6500 lanternes garnies de chandelles .

I-5 * La révolution industrielle :

Les villes ainsi que leur physionomie furent bouleversées a l’époque de la nouvelle société industrielle . ceci est du en grande partie a :

- d’une part : l’urgence de loger les masses de population qui fuirent vers les centres urbains .

- D’autre part : au progrés qu’a connue la médecine qui a permis la disparition des grandes épidémies , ce qui a eu pour conséquence un accroissement brutale de la population . c’est ainsi que ‘’ l’industrie ‘’ fabriqua des logements pour abriter son personnel .

- Et enfin : au développement qu’avait connue ‘’l’industrie ‘’ c’est autour des mines que se créèrent certaines agglomérations mais il s’agissait plus de campements en dur que villes véritables .

Désormais , l’académie des siences et société royale de médecine seront saisies de toutes les grandes affaires d’aménagement des espaces urbain , ( fontaines , adduction d’eau ……) , aux dépens de l’académie d’architecture .

La circulation des flux . ( l’air et les eaux ) , devient alors la préoccupation majeure et concerne l’ensemble des espaces urbaines de la ville . Ces espèces seront alors régis par deux principes complémentaires : ‘’ le circulatoire et le respiratoire ‘’.

Les premières linéaments d’une pensée hygiénique relèguent en second plan l’espace collectif extérieur comme espace de spectacle et la vision savante et rationnelle de la ville s’impose a la représentation symbolique .

Le transport et la communication connurent de grands progrès avec le chemin de fer qui traça ses voies sur des sites jusque la infranchissables .

Puis , vint la voiture qui envahit littéralement la ville , par sa liberté de manœuvres et ses déplacements rapides, la voiture ira jusqu'à exiger des espaces a la mesure de son dynamisme et ce dans les nouvelles agglomérations .

Avec les plans d’extension et d’embellissent des villes ( loi cornu let 1919) , et la politique des cités-jardins inspirées des exemples anglais ; l’urbanisme confirme la logique de ‘’trac és et réseaux ‘’ finement hiérarchisées agrémentés de décor végétal et de ‘’zonage ‘’ c’est – a- dire la spécialisation des espaces : du travaille , du commerce , et de l’habitation ; l’organisation spatiale et fonctionnelle de la ville ancienne disparaît progressivement .

L’espace public se polarise autour des édifices publics clos destinés a des citoyens usagers ; notamment : les écoles , les mairies , les postes ; dont l’architecture spécifique constitue une nouvelle emblématique nationale .le mal vie ne tarda pas a installer durablement dans la ville . la croissance désordonnée des agglomérations donnait naissance a d’immenses taudis , pollués , difficiles d’accès et de viabilité . quand aux logements des ouvriers de l’industrie , ils étaient aussi déplorables que leurs conditions de travail .Ajouter a cela , des maladies sociales , l’alcoolisme , les maladies des mines ainsi que la tuberculose .

Devenue insupportable , cette situation obligera les autorités a imaginer des solutions radicales en vue d’assainir les villes devenues une véritable source de cauchemars .

I-6 * La période contemporaine :

A cette époque , les artistes et les sculpteurs et même les responsables avaient conscience qu’un des problèmes majeurs de l’urbanisme moderne était , plus que le problème de l’architecture , celui des espaces urbain. Il était frappant de constater , était- il dit que les progrès constants appliqués aux logements ne s’étaient pas accompagnés d’une amélioration semblable des espaces publics ; les rues , les places , les jardins ont disparu ou perdu leur échelle et leur proportion , l’espace public , dans la plupart des banlieues et les grands ensembles , n’est plus qu’un résidu . la qualité de cette espace commence par sa redéfinition par rapport a l’architecture . il ne doit plus en être complément , l’espace vide en marge l’opération ponctuelle , mais redevenue le centre autour duquel s’organise le bati.

Ceci ouvre tout naturellement la voie aux formes de collaboration les plus diverse faisant intervenir urbanistes, architectes , paysagistes et ceux que dans un premier temps ou parfois appelé ‘’les plasticiens conseils ‘’

Apparaissait aussi l’idée que , dans les actions engagées contre l’uniformité de l’architecture , la sécheresse de la technique , la rigueur du fonctionnalisme , les artistes avaient quelque chose a supporter a l’œuvre commune sans que l’on puisse définir a priori de manière systématique quoi , comment et a quel moment . et parce qu’ils constituent des partenaires pour qu’il l’approche des problèmes relevés plus de la conception sensible et de l’imagination que de la raison ou de la technique pure .

Parmi les interventions artistiques globales , deux villes nouvelles (Every et Marne – la – Vallée en France ). Qui ont subi des tentatives ambitieuses en introduisant des notions de protection des espaces . ces recherches étaient considérées déterminantes pour crées . En même temps que l’unit é physique de la ville , un cadre de vie tenant compte des relations entre ces éléments de diversité , le paysage et les besoins des habitants .

‘’ En France est pour cette intérêt , par la ‘’ récupération ‘’ de la ville , en 1981 . le lancement du concours de la villette . il s’agissait sur 55 ha de créer un parc de la fin du XX éme siécle ‘’





I-7 * Les espaces urbains aux temps modernes , (au début du XX éme siécle , le fonctionnel prend le pas sur l’esthétique) :

La société contemporaine est tournée vers l’accomplissement fonctionnel. l’esthétique n’apparaît que lorsque les exigences de base sont satisfaites ou a l’exception certains aménagements des espaces privilégiés ( place de l’hotel de ville a paris , rues piétonnières …..)

Les premiéres années du XX éme siécle sont marquées par la transformation du ‘’visage’’ de rue , des espaces et des éléments , mobiliers ou autres . qui le composent , et ce cause du modernisme .

Le trottoir cesse de constituer une protection suffisante , a leur des piquets métalliques , plots de béton plantés le long des trottoirs …

Les fontaines également ont perdu leur importance. Les fontaines wallace qui s’étaient multipliées au milieu du XIX éme siécle , disparaissent a un rythme accéléré a partir des années 1930.

Avec le développement du transport commun , les pans d’arrét sont bien délimités et signalés par des poteaux indicateurs .

Le XX éme siècle a conçu le « jardin fonctionnel »en opposition aux jardins du XVIII éme ou XIX éme siècle qui étaient surtout destinés à l’agrément fonctionnel parce que , une réponse partielle aux nouveaux besoins des citadins qui se fon avec les excès de l’urbanisation pour composer ces excès , on veut amener la compagne dans la ville .

A titre d’exemple ,le Park de Stanley en 1922 à Blackpool .

Le Corbusier, avec « la ville radieuse » ,propose une cité-jardin sur pilotis dont,la Conception est toute pénétrée d’un rationalisme cartésien.

La charte d’Athènes,élaborée pour le CIAM ( Congrès International d’Architecture Moderne ), en 1933,a également une grande influence sur l’aménagement des espaces extérieures dans les grandes villes du XX éme siècle.

En particulier parce qu’elle préconisait de mettre en ordre par le zonage les quatre fonction : Habiter, Travailler, se distraire, circuler.

II-LES ESPACES URBAINS PUBLICS :

II-1* Définition :

Les espaces urbains publics appelés aussi les espaces extérieurs collectifs, sont constitués par l’ensemble des espaces extérieurs libres ouverts à tous «c’est l’ensemble des vides délimités dans la ville par les parois extérieures des édifices et éléments naturels »

C’est aussi un espace de vie publique ; espace de rencontre, de détente (espaces verts ),de loisirs,de transport (déplacements individuels ou collectifs).c’est un espace à voir , à vivre .

Du point de vue juridique ,il semble que le terme « espace public » ne connaît pas de définition propre. Il recouvre à la fois la catégorie du domaine public défini par le droit public en opposition aux biens privés régis par les règles de droit civil d’une part, et l’idée empirique d’espace ouvert à tous , tel qu’il est généralement vérifié par l’usage d’autre part,des lois il apparaît que l’ambiguïté de l’espace urbain public dans les grands ensembles réside principalement dans le rapport entre le l’espace et les usages qu’il autorise.

Ce rapport confère à cet espace une flexibilité mais aussi une grande complexité.

Les espaces urbains, qu’ils soient situés à l’intérieur ou en périphérie des villes ou villges, sont les lieux privilégiés de la vie sociale des citadins. Leurs fonctions sont multiples ( circulation, loisirs ,jeux,rencontre,détente,etc…).

De nos jours et dans la plupart des villes algériennes les espaces urbains publics ne sont plut ce qu’ils étaient autrefois ,il sont devenus des espaces réservés à la circulation automobile ,aux parking de voitures ,créant ainsi différentes sortes de nuisances (bruits,vues désagréables,désordres,etc…)

Dans ce qui suit, nous essaierons de décrire brièvement les rôles et fonctions des espaces urbains ,quelques uns de ces espaces urbains publics,notamment la rue, la place , la placette,les jardins publics, les aires de jeux et enfin le mobilier urbain.

II-2*Les rôles et fonctions des espaces urbains :

« L’espace urbain extérieur exerce une fonction primordiale : il donne à vivre, il donne à voir ». De lui dépend l’image de marque de la ville. Que l’image soit agressive, rebutante ,ou simplement monotone .

L’espace urbain extérieur exerce aussi d’autres fonctions importantes .C’est le lieu de la circulation ,de la communication, de la rencontre : ce sont ces fonctions les plus connues,celles immédiatement perçues .il y en a d’autres mois apparentes mais pourtant déterminantes et essentielles : l’espace urbain extérieur permet en effet de lutter contre nombre de nuisances, qu’elles soient phoniques ou atmosphériques.

II-2-1* Des espaces pour la circulation :

L’une des premier et les plus anciennes fonctions des espaces extérieurs urbains est de permettre la circulation des individus. Les diverses modalités de circulation , simples ou complexe, de la zone piétonne aux grands boulevards.

II-2-2* Des espaces pour la sauvegarde de la qualité de la vie :

Les espaces urbains extérieurs constituent le cadre de vie du citadin.

L’espace vert, facteur d’équilibre écologique :

Dans l’espace urbain ,les sources de nuisance sont multiples.

Les foyers industriels,la circulation des véhicules provoque des bruit, des accidents et une pollution atmosphérique fort importante.

Ces nuisances créant un microclimat spécifique à l’espace urbain qui peut se définir par plusieurs éléments : une altération de l’atmosphère (poussières polluantes …) ,par une ventilation moindre,une température plus élevée que dans l’espace rural.

Les espaces verts ,intra urbains permettent une diminution de température .le phénomène est mesurable .En effet, il facile de s’en rendre compte pour la sensation de fraîcheur souvent étonnante lorsqu’on pénètre,par une journée torride d’été, sous les frondaisons d’un parc urbain. Aussi ,si les espaces verts sont nombreux ,la tendance à la formation du dôme de pollution sera atténuée : c’est l’un des fonctions importantes des espaces verts urbains ; de récentes observations montrent que les végétaux servaient aptes à fixer et à retenir les éléments fins des poussières…

Il est donc essentiel pour les aménageurs,concepteurs ,responsables et élus locaux de les aménager et de les préserver en vue de toujours y maintenir des conditions de vie et d’environnement de qualité.

II-2-3* Des espaces de loisirs :

Les espaces extérieurs urbains ont également comme fonction de permettre le repos , la détente et le divertissement des citadins .Les espaces extérieurs urbains sont aussi considérés comme support de jeux potentiel que s’approprient les enfants, d’autre part , les espaces urbains contribuent à la beauté de la ville et de ces quartiers.

III-LA RUE :

«poussé par la nécessité ou la curiosité, l’homme, pas à pas, a tracé des chemins, qu’il a ensuite parfois empierrés, pavés puis bitumés pour répondre aux besoins des marchands ,des armés ,puis de cette invention formidable mais très consommatrice d’espace :la voiture »

Dans les cités anciennes, la rue lieu de travail ,d’échange de la fête ,et lieu de vie des familles, était d’abord un espace de contact ; remplacée dans le contexte d’ensemble de la vie ,la rue être perçue comme une traversée urbaine le long de laquelle s’accrochent diverses activités et des lieux d’ambiance variée.

En fait , toutes les rues ne jouent pas le même rôle dans la ville ou dans un quartier. Afin de tenir compte de ces différences,il convient d’établir une grille d’analyse qui retiendra les facteurs.

III-1* Le trottoir :

Un trottoir est un espace surélevé sur le coté des rues.

Il est réservé aux piétons et aux usagers se déplaçant sur des véhicules à roulettes (poussette pour enfant, patin à roulettes).Un véhicule motorisé n’a pas le droit de stationner et de circuler sur un trottoir.

III-2* La rue piétonne :



En urbanisme ,la rue piétonne est une partie de l’infrastructure de circulation : une voie réservée en priorité aux piétons .elle est aménagée en conséquence.

En général ,les municipalités mettent dans leurs rues piétonnes des zones commerciales caractérisées par de nombreux magasins, les rues sont caractérisées par leurs pavés.

LA PLACE :

Une place est un espace public non bâti, desservi par des vois. Elle est généralement limitée par des bâtiments, dotée d’un traitement du sol minéral, équipée de mobilier urbain ou d’édicules ( statue ,fontaine, obélisque….)

Elle est naît du besoin des hommes pour se rassembles, discuter, négocier, converser, assister à un événement spectacle…) Espace polyvalent par excellence,prolongement de l’habitat , la place public est fréquentée essentiellement par toutes les tranches d’âges .cette place urbaine publique doit être aménagée de manière à ne pas figer les activités (jeux,détente,repos ,spectacle …) infiniment variées sont les formes géométriques des places publiques .Nous allons citer les trois principales géométries : le triangle, le rectangle, le cercle.

La place triangulaire;

La place rectangulaire;

La place circulaire ;

La place fermée;

La place ouverte;

V-LE JARDIN PUBLIC :



« En son sens strict ,le jardin public est un espace vert urbain enclos à dominante végétale ,protéger par des circulations générales, libre d’accès, conçu comme un équipement public et gérer comme tel »

Le jardin public,dans son acception moderne , est né : un espace urbain naturel, planté ,paysagé et entretenu par la collectivité pour l’agrément de tous.

VI-L’ESPACE VERT :

« Le terme espace vert désigne, en urbanisme, tout espace d’agrément planté de fleures, d’arbres ou gazonné.

Un espace vert doit répondre à plusieurs critères .Par exemple, il doit être assez grand, facilement accessible par les usagers (un rond-point fleuri n’est pas espace vert) aussi bien à pied qu’on vélo, être bien entretenu et ne pas présenter de danger pour les usagers».

La notion d’espaces verts est apparue au moment ou le développement de l’urbanisme fait augmenter les surfaces construites et créant le besoin d’une présence végétale dans la ville pour la détente, l’hygiène et l’agrément.

VI-1*L’impact des espaces verts :

VI-1-1*Les fonctions urbaines des espaces verts :

· les espaces verts influent sur le milieu urbain dans son expression physique, ils améliorent l’esthétique du paysage bâti introduisent dans la ville le végétale, les formes pas tout à fait géométriques ,en créant un changement de texture, un contraste de couleurs vivres et tendres et de formes par rapport aux bâtiments adjacents ,la diversité des feuillages et la floraison de différentes espèces ajoutent une note importante parmi les masses bâties, trop souvent concentrées et entourées de vastes espaces de stationnement.

· Sur le plan urbanistique,les espaces verts permettent d’organiser la structure de la ville.

· Les espaces vert au centre des villes servent de coupures entre les secteurs batis ,et ils constituent des équipements de proximité des unités d’habitations ou des quartiers.

· La végétation en milieu urbain et périurbain , aide à définir et à séparer les espaces extérieurs.

· En zone résidentielle ou dans des aménagements publics la végétation assure le caractère privé de certains espaces, de plus , la conservation d’une bande boisée peut permettre d’isoler une zone industrielle , pour des raisons hygiéniques et écologiques ,l’emplacement des espaces verts s’impose comme accompagnement d’aire industrielle en tenant compte de l’orientation des vents dominants pour éviter de recevoir la fumée sur le secteur d’habitation .

· Les plantations de rue servent de lien entre les divers espaces publics et les fonctions récréatives , les plantations d’arbres d’espaces variées peuvent , par exemple , servir a identifier les parcs ou les corridors récréatifs , la ville devient alors un ensemble vivant et bien planifier .

· La présence d’espace vert de dimensions importantes est un facteur de discontinuité des constructions et de maîtrise du développement urbain .

VII- DES PRINCIPES LIEE A LA CONCEPTION :

1- mettre en place des structures adaptées , pour garantir la conception et la participation des habitants , réunions , réseaux d’habitants relais .

2- l’espace urbain public est indissociable de ce qui l’en trouve de ce fait , ces espaces et l’architecture de leurs abords doivent être conçus comme un tout.

3- Un maillage de véritable espace public ( création de nouvelles placettes squares et jardins , espaces verts aménagement des parking …) et un réseau de jardin privatifs au pied des immeubles .

4- La diversification et la densification des fonctions et la vie urbaine des usages des espaces urbaines publics.

5- Le réaménagement des espaces extérieurs.

6- La réaffectation de l’espace interstitiel libre .

7- La création d’une nouvelle mixité urbaine.( usage , matériaux , forme )

8- La redéfinition d’un nouveau rapport entre l’espace public et privé .

9- L’amélioration de la structure et la forme de l’ensemble et la ville laquelle il se rattache.

10- Tracer une trame parcellaire qui permet d’obtenir plusieurs îlots denses , compacts et assez homogènes .

11- Le rétablissement de la continuité structurelle et morphologique par la création d’espace de transition entre le grand ensemble et la ville laquelle il se rattache .

12- Appliquer un maillage urbain régi par facteurs naturels et urbains.

13- Promouvoir le mixage des circulation piétonnes et mécaniques, et prévoir l’intégration de la voiture , voire les deux rues .

14- Le principe d’organisation de la trame bati être celui de la continuité tissulaire régie par un maillage urbain et un composition d’ensemble homogène.

15- Attribuer aux espaces urbains publics des formes géométriques diversifiées, selon leur positionnement dans le tissu urbain du grand ensemble et par rapport aux différentes unités du bati .

16- Dimensionner les voies selon leur d’importance et le rôle qu’elles jouent dans le grand ensemble, et les raccorder au réseau de voiries de la ville .

17- La revaloriser de trame paysagère, afin de définir l’identité spécifique des ces quartiers d’habitats sociales .
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